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Méthode Marchal

Thérapie Oculo-posturale

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À propos de la méthode marchal

La Méthode Marchal, unique et totalement innovante, prend en compte l'état général du patient et ses capacités oculomotrices. Les mouvements de fixation visuelle et la synchronisation des deux yeux permettent le relâchement des tensions musculaires dans le corps. De la même manière, ces mouvements oculaires permettent de réactiver les réseaux neurologiques bloqués. L'oeil étant une entrée posturale avec l'appareil manducateur et la sole plantaire, beaucoup de déblocages pourront donc être faits à partir des yeux en agissant directement sur le système nerveux central. Soulager toutes ces tensions permet l'ancrage postural et émotionnel du patient. S'en suit pour le patient la conscience de sentir son corps plus posé, plus stable et avec une respiration aisée. La Méthode Marchal est une thérapie hollistique qui agit sans contact et sans douleur. Ses effets sont durables : la sensation de se trouver à la juste place, dans la position la plus harmonieuse. Le corps retrouve son équilibre profond et sa stabilité.

Cette méthode est unique en son genre, et a été déposée à l’INPI le 28 septembre 2016.

La Méthode Marchal

Principes

À partir du travail de la fixation visuelle fine et de l’oculo-motricité travaillée de façon extrêmement subtile, cette méthode permet la mise d’aplomb au niveau global du corps de façon spontanée et sans effort. Cela permet de relâcher toutes les tensions musculo-squelettiques et posturo-émotionnelles. A partir des yeux et en suivant les réseaux neurologiques, on a accès aux différentes chaînes musculaires posturales qui soutiennent le corps et l’on va les remettre dans la tonicité optimale. D’où l’intérêt de la méthode Marchal puisqu’elle agit sur les voies volontaires et neurologiques, donc avec des conséquences immédiates et efficaces. Elle complète ainsi le travail d’ostéopathie.

Caractéristiques

Interactive :

La méthode Marchal est une méthode personnalisée qui tient compte de l’état oculomoteur du patient et de son état général pour servir de point de départ. En effet, le patient n’est pas passif dans le traitement puisque le soin se fait à partir de la fixation visuelle volontaire. Une synchronisation de la fixation des yeux par l’intermédiaire du mouvement du thérapeute permet le déblocage des tensions.

Consciente :

C’est une méthode qui travaille sur les réseaux neurologiques de la posture, et sur les différentes chaînes musculaires et posturales. Elle se pratique dans un état conscient et de façon volontaire, sans douleur. En effet, le patient prend conscience des effets de la thérapie sur son corps et pourra donc le contrôler pour continuer seul la thérapie. 

Sans effets secondaires :

C’est une méthode non invasive, ne nécessitant aucune machine ni aucun contact. La méthode se fait simplement à partir de la fixation d’une cible accommodative (une lettre). Le patient suit le geste de la thérapeute qui va sonder les restrictions visuelles et leurs corrélatifs musculo-squelettiques et posture-émotionnels. 

Pérenne :

Une réorganisation neurologico-posturale se met en route pour automatiser les acquis de la thérapie et permettre au patient d’être autonome et garder la stabilité et de l’aplomb acquis sur plusieurs mois. Une séance de mieux-être peut être faite de façon annuelle.

Cohérente :

C’est une méthode globale qui met en harmonie le corps et l’esprit par la libération des tensions et l’ancrage émotionnel qui permet de « se sentir bien » dans son corps et en parfaite cohésion avec soi-même. L’ancrage émotionnel correspond au fait de se sentir posé et ancré physiquement dans le sol et ainsi de se sentir à sa juste place en soi-même et avec les autres.

Physiologie oculaire et relation entre œil et posture

Fonction sonar de l’œil

L’œil est un capteur essentiel de l’équilibre et du mouvement. Il se déplace dans différentes directions pour balayer l’espace et faire réagir le corps en fonction, par rapport aux obstacles et aux diverses stimulations. On peut comparer cet espace visuel optimal à une structure sphérique nette et panoramique. Les muscles oculomoteurs ont cette propriété de proprioception et de balistique qui calculent sans erreur les coordonnés spatiales exactes de chaque cible et stimulations. Quand nous sommes en mouvement, l’espace visuel évolue et nos yeux nous dirigent et nous permettent de gérer cet espace. Ceci permet de réagir le plus précisément possible à un danger ou à plusieurs stimulations par une gestion adaptée de la coordination motrice et du comportement.

Par exemple quand on conduit une automobile ou que l’on joue au tennis, les actions gestuelles partent de l’œil mais concernent le corps entier. Toute capture d’image par les yeux est traitée dans le cortex occipital pour être décodée et identifiée par rapport à une expérience visuelle donnée. Elle génère ensuite une réponse motrice mettant en jeu une coordination œil – tête – mains ou œil – tête – cou – pieds, etc. Exemple des sports de balle, de la gestion d’obstacles dans le déplacement, du travail sur écran. Cette interaction est toujours vraie, que l’on soit assis, à pied ou dans un véhicule, en statique ou en mouvement. Plus le mouvement s’intensifie et se complexifie, plus cette coordination posturale doit être finement ajustée.

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Fonction posturale de l’œil

En plus d’être l’organe de la vision, l’œil permet de régulariser l’équilibre en statique et en dynamique. Etant en relation directe avec le centre supérieur de la posture, il renseigne le cerveau sur la position du corps dans l’espace dans les 3 plans (sagittal, frontal et horizontal). Il influence les différentes portes d’entrée posturales (occlusion dentaire, oreille interne, appui podal, capteurs articulaires). Mais son action s’étend également à l’effecteur musculaire par l’intermédiaire des chaînes musculaires posturales.

La fonction oculomotrice semble donc être un circuit s’intégrant en parallèle au sein des circuits posturaux classiques capteurs-effecteurs. L’intérêt de la normalisation de la fonction oculomotrice sera de libérer les tensions visuelles en permettant aux yeux de retrouver leur efficience dans la gestion du regard et la perception de l’espace. La posture en est influencée de façon directe, puisque les yeux en se dirigeant dans l’espace vont induire le mouvement global du corps. Des yeux libres et toniques vont « emmener » le corps dans le mouvement de façon fluide, des yeux restreints en mobilité et sous tension vont engendrer des tensions et être un frein au mouvement corporel libre et spontané. En effet, toute tension visuelle induit directement une tension cervicale posturale associée ou non à une tension faciale. Une difficulté à fixer, va induire une tension cervicale, dans le sens que basiquement et par réflexe, on avance la tête en se faisant une lordose cervicale pour «mieux voir», d’où l’impact premier et direct sur la posture.

Tonus oculaire et postural

Pour être d’aplomb et tonique sans effort, les yeux doivent être en tonus, en régulation entre la contraction et le relâchement musculaire. Une tonicité visuelle se traduit par une capacité à poser les yeux dans n’importe quelle direction, à n’importe quelle distance sans effort, et en ayant une vision nette dès lors que les yeux sont dans cette position de tonus, sans tension. Les fascias et muscles dans la sphère crânienne et cervicale se trouvent apaisés car dans un tonus ajusté. Il faut dire que la fatigue visuelle chronique va induire des tensions cervicales chroniques et il va en découler un déséquilibre postural. Ceci est vrai pour les personnes devant leur écran et c’est d’autant plus vrai quand on associe une dynamique quelconque qui oblige les yeux et le corps à s’y adapter, que ce soit en position debout ou en activité pluri-sensorielle (conduite ou sport).

Posture de la langue

La posture de la langue fait référence à la position naturelle de la langue dans la bouche lorsqu'elle est au repos ou lorsqu'elle est en mouvement pendant la parole ou la déglutition. La position de la langue peut avoir un impact sur la santé bucco- dentaire et sur la qualité de la parole.

En général, la posture de la langue correcte consiste à maintenir la langue en contact avec le palais supérieur, derrière les dents supérieures avant, et à l'arrière, proche des molaires. Cette position est appelée "posture linguale haute" ou "posture linguale en succion". Cette position permet de maintenir une bonne stabilité des dents, d'éviter des problèmes dentaires comme le déplacement des dents ou la déformation des mâchoires, et de favoriser une respiration nasale plus efficace.

Cependant, certaines personnes peuvent avoir une posture de langue basse, où la langue repose au fond de la bouche ou entre les dents. Cette posture peut causer des problèmes tels que la respiration buccale, des problèmes d'élocution et des problèmes dentaires.

Il est possible de corriger la posture de la langue avec des exercices de renforcement musculaire de la langue et des exercices de respiration pour encourager une respiration nasale. Les orthophonistes et les dentistes peuvent également aider à corriger la posture de la langue pour améliorer la santé bucco- dentaire et la qualité de la parole.

Fonctions et normalisation de la langue

La langue est un organe essentiel qui remplit plusieurs fonctions vitales. Elle est responsable de la respiration, de la déglutition et du modelage des arcades dentaires, particulièrement chez les jeunes enfants. Une bonne posture de la langue, où elle est postérieure, détendue, large et épousant le palais, contribue à un bon positionnement des mâchoires, sans tension ni bruxisme, ce qui permet de prévenir les tensions cervicales et visuelles.

Cependant, une mauvaise posture de la langue peut causer de nombreux problèmes, tels que des troubles respiratoires, des infections ORL récurrentes, des apnées du sommeil, des troubles de diction et de digestion, et des problèmes de placement des dents. En effet, la langue façonne le palais et les arcades dentaires, et une mauvaise posture peut entraîner un manque de place pour les dents, des chevauchements ou une étroitesse du palais.

De plus, une mauvaise posture de la langue peut également affecter la posture globale, car une langue basse ou antérieure peut exercer une tension sur les cervicales supérieures, entraînant une hyperlordose cervicale et potentiellement des problèmes de posture dans le dos et le bassin.

Heureusement, la posture de la langue peut être rééduquée, en stimulant certains nerfs crâniens à travers la thérapie oculoposturale. Cette approche permet de travailler sur l'ancrage de la langue au palais, sur les liens réflexes et volontaires, et peut aider à normaliser la posture de la langue ainsi que la posture globale, en réduisant les tensions des mâchoires, cervicales, lombaires et générales. La prise en charge de la posture de la langue est donc essentielle pour soigner la posture et améliorer la santé bucco-dentaire, respiratoire et posturale.

Buts de la méthode

Le but de la thérapie est de soigner les tensions musculo-squelettiques et posturo-émotionnelles et travailler sur l’ancrage qui peut être expliqué par l’apaisement résultant d’une « présence » et d’une « conscience » du corps bien posé et maintenu.

En effet, la recherche d’aplomb est celle de l’équilibre postural physique ainsi que l’assurance dans la manière de se présenter, d’agir et de parler.

Prenons l’exemple d’un danseur : c’est la stabilité contrôlée permettant aussi bien le départ précis du mouvement que sa conclusion. Pour tout artiste de planche, ce serait la « gestion du trac ». Pour tout sportif de haut niveau, avant un match, ce serait « la gestion du trac et le contrôle continu et précis des gestes ».

Beaucoup de blocages et verrouillages visibles dans la motricité conjuguée doivent leur origine à des émotions mal intégrées qui génèrent des informations mal décodées dans notre système limbique.

Un grand nombre de chocs émotionnels passent par le support visuel qui voit et enregistre cette information. Des observations sur des chocs émotionnels brutaux concernant des séparations et des annonces brutales bloquent différentes paires de nerfs crâniens et ceci est visible au niveau oculomoteur.

C’est une thérapie qui permet de répondre à tous ceux qui recherchent une harmonie entre le corps et l’esprit, une bonne posture dans l’apaisement, la sensation d’être posé et apaisé, avec en prime la rapidité des résultats. En effet, ils sont presque immédiats puisque le travail se fait via les réseaux neurologiques, donc de manière extrêmement rapide.

1. Symptômes révélateurs des causes à corriger :

Fatigue visuelle

Troubles de fixation et d’accommodation

Céphalées de tension, migraines

Cervicalgies, dorsalgies, lombalgies, pubalgies et gonalgies

Troubles de l’équilibre

Difficultés d’apprentissage, de mémorisation ou de concentration

Perte de tonus à l’effort avec diminution de la coordination du geste et de la posture, notamment chez les sportifs

Désorientation temporo-spatiale

Troubles du sommeil

Non-adaptation aux verres correcteurs

Plus généralement, tout trouble postural est susceptible d’être traité par cette méthode. Mais il peut ne pas y avoir de signe fonctionnel lorsque le système postural n’est pas à bout de ses compensations. Toutefois, on peut se sentir inconfortable et s’adapter aux lésions posturales sans que cela soit perceptible de manière consciente par le patient. Lorsque l’équilibre postural se décompense, des douleurs chroniques peuvent apparaître.

2. Patients ciblés

Toutes les catégories d’âge sont concernées.

Pour les bébés, présentant un strabisme, un retard psychomoteur (marche à quatre pattes, la marche bipédique, le vélo, la trottinette), une maladresse, des chutes répétées, des problèmes de coordination motrice.

Pour les enfants présentant des troubles de la concentration (enfant hyperactif ou rêveur) et les troubles d’apprentissage en lecture, en géométrie, ainsi que la construction spatiale (puzzle, kapla, lego sur modèle). Plus généralement, les troubles de la dyslexie devraient être explorés par cette thérapie.

Pour les jeunes adultes : les signes d’appel se traduisent par des efforts à la fixation et la concentration pour les activités de lecture, en conduite, sur écran, de loin ou de près, en position statique ou dynamique, ou encore une difficulté d’adaptation aux verres correcteurs.

Pour les danseurs : Une cohésion globale et un alignement du corps ainsi qu’une harmonie des mouvements avec un ancrage au sol, un bassin stable pour un corps étiré et un rachis érigé.

Pour les sportifs : des efforts croissants au fur et à mesure de l’entraînement avec une baisse de la vigilance et une altération de la coordination du geste et de la posture. Les sportifs traités augmentent leurs performances grâce à l’optimisation des gestes techniques. Le délai entre la perception visuelle et l’exécution du geste est réduit, et ainsi le risque de blessures est diminué.

Pour les musiciens : L’ancrage des pieds et du bassin sont une finalité évidente pour tout musicien, que l’on joue assis ou debout. L’ancrage au sol associé au travail de la chaîne antéro-interne (composée des muscles ilio-psoas et du diaphragme) permet de gérer le trac et de « poser » la respiration de façon spontanée pour aller dans la musique proprement dite. Il est évident qu’avec le travail oculaire, les musiciens gagnent en netteté et en fluidité de lecture de partitions ce qui est essentiel. Le travail de respiration apporte une grande stabilité au niveau postural qui entraîne un placement bas du diaphragme et qui permet une respiration beaucoup plus ample, fluide et posée. Les exercices d’ancrage de respiration et de libération du bassin permettent de ressentir une sensation de bien-être et de fluidité, avant un concert par exemple. Le trac avant de monter sur scène est beaucoup plus maîtrisé car les émotions ne sont plus vécues comme extérieures à soi-même. Elles sont acceptées et maîtrisées avec calme. Ce que l’on voit écrit dans la partition est comme fondu dans le jeu. Tout s’enchaîne naturellement et sans effort en une seule unité. On retrouve plus de connexion entre tous les éléments qui constituent la lecture : compréhension, décodage des signes, applications à l’instrument… On retrouve plus de connexion à soi-même donc on sera plus enclin à s’en détacher pour aller vers l’écoute des autres. Le lâcher prise aide à aller vers des espaces beaucoup plus infinis et grands lors des interprétations.

Femme enceinte : vu le travail sur la chaîne antéro intérieure, la thérapie oculo-posturale est un moyen sûr pour travailler en conscience le périnée et le diaphragme pour les tonifier en justesse, que ce soit avant ou après l’accouchement.

Pour les personnes âgées on peut traiter les troubles de l’équilibre, les tensions cervicales et l’inconfort visuel.

Jeunesse du regard : on pourrait retarder les effets de presbytie puisque cette méthode normalise l’accommodation. La mobilité oculaire apportée par la méthode va permettre de retarder le vieillissement précoce des yeux.

Déroulement d’une séance

En pratique, je commence par faire un examen très précis de la motilité oculaire. Je recherche les restrictions des muscles en allant au-delà des limitations recherchées habituellement. J’entraîne l’œil dans une zone de non mouvement pour y créer un mouvement. En procédant avec subtilité, il est surprenant de voir l’amplitude du mouvement d’excursion dans une zone supposée de non mouvement.

Le travail d’élongation musculaire dans cette zone permet de restaurer de grandes fonctions visuelles, assimilées à une normalisation. Celle-ci se traduit par un redémarrage de la fonction d’accommodation, de convergence et du tonus musculaire oculomoteur et global.

Pour une normalisation optimale, je travaille à partir d’une position donnée pour solliciter l’accommodation afin de la libérer.

Je trouve la restriction du muscle et je la libère en donnant l’amplitude maximale sans aucune syncinésie ou tension faciale, cervicale ou respiratoire.

Pour ce faire, on utilise une cible fovéolaire accommodative que je déplace à une distance 20 et 30 centimètres. Je libère ainsi les restrictions millimètre par millimètre dans les directions horizontales, verticales et obliques.

Je part d’un point d’appui au niveau de la limite du mouvement et je porte l’œil à travers la cible dans un mouvement très profond et très lent pour amener l’œil plus loin et démarrer dans chaque nouvelle zone une vivacité et une mobilité de l’œil.

Les tensions étant différentes d’une personne à l’autre, il faut adapter l’objectif thérapeutique à chaque cas, pour atteindre la motricité idéale individuelle.

La motricité idéale est celle où il n’y a aucune contrainte dans le déplacement de l’œil, même en position extrême d’excursion, avec une fixation ancrée et une vision nette dans chaque millimètre sollicité, le tout sans contrainte respiratoire ou musculo-squelettique.

Résultats cliniques

Des remaniements d’adaptation des yeux et du corps apparaissent et ceci différemment d’une personne à l’autre : c’est du véritable sur mesure qui soigne en partant d’une base unique de traitement.

Les patients qui viennent pour un inconfort visuel sont surpris par le bien-être inattendu qui dépasse leur besoin initial en rapport avec leurs symptômes. Le confort visuel et général retrouvé se reflète dans l’amélioration de la posture, de l’équilibre et de l’efficacité psychomotrice.

Ce travail normalise la motricité conjuguée au niveau le plus subtil.

Chaque séance est unique, puisque chaque patient est unique. Le travail doit être adapté à chaque cas.

En pratique

3 séances de 40 minutes chacune sont proposées pour débloquer les différentes tensions en équilibrant les différentes chaînes musculaires qui soutiennent le corps

Dès la première séance, on retrouve de la mobilité et de la stabilité. On gagne en confort puisque le corps va moins se fatiguer à retrouver un perpétuel équilibre.

Votre Thérapeute

Diplômée en orthoptie en 1997 à l’université Pierre et Marie Curie (Paris VI), j’exerce depuis une dizaine d’années une thérapie globale que j’ai élaborée au fur et à mesure de mes interrogations et de mes observations cliniques.

Marcella Chalhoub

A partir de mon travail en orthoptie sur des patients polyhandicapés ou ayant des lésions neurologiques, j’ai cherché sur des patients sans lésions neurologiques, des blocages similaires mais extrêmement subtils que j’ai pu soigner. J’ai ainsi visualisé et expérimenté le lien de globalité entre les yeux et le reste du corps, que ce se soit en musculo-squelettique ou posturo-émotionnel. A partir de mon expérience, j’ai pu établir une cartographie précise entre les blocages de l’œil et les blocages en correspondance dans le reste du corps, cartographie qui se développe tous les jours à partir de mes observations cliniques.

FAQ

  • À qui s'adresse la méthode ?

    Tout le monde ! Rares sont les personnes qui ont naturellement une bonne posture. Elle est spécialement indiquée chez les enfants pour accompagner les différentes phases de croissance et chez les sportifs et musiciens de haut niveau pour les accompagner au cours de leurs entraînements.

  • Trois séances comme base de traitement pour imprimer les informations de base et les autonomiser. Les 2 premières séances induisent les normalisations au niveau des chaînes musculaires et la troisième sert à ancrer l'information posturale et pérenniser le travail.

  • Les yeux sont une entrée posturale très importante puisque faisant partie du cerveau. Le travail se fait en intrinsèque par rapport à la cause et non les symptômes. On ne propose pas de "béquille " mais un travail réel. En ce sens la méthode est complémentaire de l'ostéopathie. Le travail en occluso-dontie est très important et complémentaire. Les semelles proprioceptives sont importantes dans certains cas.

  • Le travail est profond rapide et efficace qui peut booster le travail postural déjà en route ou initier un travail postural en profondeur.

Emplacements

36, rue Scheffer, 75116 Paris

155, rue Houdan, 92330 Sceaux

Pour prendre un rendez-vous

mchalhoub.3@gmail.com

Numéro de téléphone

01 49739462